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| de Mr C. via internet - (janvier 2008) | |
bravo pour votre site ! je cherche une petite commode Louis XVI d'époque comme celle que vous avez si bien restaurée. Serait-elle à vendre ? Cordialement J.C. - Cher Monsieur, Celle-ci étant vendue, je peux, somme toute, en suivant au plus près les critères que vous m'indiquerez( tant de format et d'ornementations, d'état et d'identification par une estampille ou non ), vous procurer la petite commode Louis XVI que vous recherchez. Selon les spécifications, je pourrai vous préciser un prix partant de 4 à 5000€ pour les modèles d'époque les plus simples ou bien les plus tardifs. L'équivalent de celle du site, par son état restauré à fleur de coins et la présence de cannelures et baguettes de laiton, représente une enveloppe de 6800€. Je développe par ailleurs depuis très récemment, un programme de "tourisme artisanal" que j'ai baptisé HANDICRAFT TOURING (car il s'adresse tant aux francophones qu'aux anglophones). N'étant pas encore annoncé sur le site, je vous l'expose ici: Je me propose de vous guider dans vos achats de meubles anciens, lors de visites au marché aux puces de Saint-Ouen, organisées en fonction de votre recherche; puis, de vous initier à l'atelier, aux travaux d'embellissement de votre acquisition. Si cette formule vous séduisait, je vous invite à m'en faire part, tout en restant à votre disposition pour une commande de meuble restauré. Cordialement, D.N.H - Bonjour, Merci de votre réponse. En ce qui concerne les puces...je suis un habitué depuis plus de 25 ans ! j' y étais encore samedi, et j' y ai fait ...prudemment...quelques acquisitions ces dernières années. Pour la commode que je cherche, n'hesitez pas à me faire savoir si vous avez quelquechose en vue...le budget cité de 4 à 6500 Euros me paraît raisonnable - pour un meuble de qualité en bon état - compte tenu de ce que j'ai vu jusqu'à maintenant et des réferences de vente que je possède. J'en ai vu passer à Drouot récemment ( à 2 ou 3000 Euros pour des modeles non signés) en état mais necessitant un rafraichissement . Comme vous le savez si la signature peut être un Plus cela est d'autant plus vrai qu' il s'agit d'une bonne signature et d'un joli meuble. bien des meubles non signés sont d'excellente qualité ! Une "petite" estampille n'apporte pas grand chose à la valeur du meuble si celui-ci est "moyen". A bientôt j'espere ; Cordialement J.C. - Nous avons pu nous croisé sans nous connaitre samedi. Je suis passé en milieu de journée à Saint-Ouen ! Merci pour votre contribution à la gazette de l'atelier et rassurez-vous quant à la discrétion nécessaire dont j'entoure les morceaux choisis qui la composent. En chineur averti que vous êtes, vous pouvez solliciter mes compétences pour quantifier la restauration d'une pièce que vous auriez repèrée, avant de l'acquérir, avec cette perspective. Ainsi cela confirmera les prévisions de budget évoquées. Cordialement, D.N.H |
| UN ECHO BIEN AGREABLE A LA LIVRAISON D'UNE COMMANDE - de M et Mme G. à Rueil-Malaison | |
| De Mme B. à buzenval - | |
| De M et Mme B. à Rueil-Malmaison - | |
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| Mon secrétaire dos d'âne - De Thomas G. ancien stagiaire dans l'atelier | ||
J'ai commencé par la structure du meuble réalisée en Dibétou (bois africain de couleur mordorée, appelé aussi Noyer africain). Puis j'ai fini par la décoration extérieure de l'abattant, composé d'Afromosia sur les frises qui encadrent un frisage en Buginga monté en éventail. Ce sont tous les deux aussi des bois africains. Frisage en eventail et montage des frises qui l'entourent: Pour cet exercice, on nous fourni un paquet de 16 feuilles de placage de Bubinga tranché en 6/10e de mm et 2 feuilles d'Afromosia qui se suivent. Le placage tranché est obtenu par le débit d'une bille de bois étuvé qui est découpée en "tranches" grâce à un grand couperet. Les feuilles débitées sont conservées dans leur ordre de découpe et laisse donc apparaître le dessin du bois symétriquement d'une feuille à l'autre. Une fois le paquet en main, on commence par le découper en pointe en faisant bien attention que les feuilles restent empilées. Par la suite on l'ouvre en deux comme un livre. Ensuite, chaque demi-paquet est déployé en acordéon comme un dépliant. On rectifie toutes les coupes et on assemble les joints avec du papier gommé. Le but est qu'il n'y ait aucun jour entre les feuilles. On le vérifie en regardant à contre jour le montage. Une fois le montage terminé, on peut découper les contours et y assembler de la même manière les emboitures (frises). Par la suite, j'ai plaqué mon montage sur l'abattant.
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| Atelier DNH - Article de Yannick DELON paru dans RUEIL-INFOS n°235 (mars 2006) | |
A 42 ans, Didier Nicolas Humruzian, ébéniste et restaurateur de meubles anciens, a déjà beaucoup de métier. Un penchant pour le travail du bois hérité de son père, un médecin qui réalisait des pièces de bois à ses heures perdues. Attiré par la sculpture sur bois à l'adolescence et impatient d'entrer dans la vie active, il entre dès l'âge de 17 ans en apprentissage dans un atelier spécialisé en restauration de meubles du XVllle siècle. Installé ensuite à son compte pendant six ans, il prolonge sa carrière dans les ateliers de grands antiquaires parisiens, avant d'ouvrir sa propre boutique à Rueil en octobre 2003. Il trouve, dans une ancienne boucherie du Plateau, un local adapté à ses aspirations : un atelier-boutique inspiré des échoppes du XVllle siècle,qui proposaient à la fois la restauration et la vente de meubles et d'objets. «La vitrine, commune à la partie «atelier» et à la partie «boutique»,qui donnent toute deux sur la rue, fait de ce local un endroit très convivial, qui me correspond bien», confie notre artisan. A tel point que celui-ci, souvent en déplacement, a décidé de réserver ses dimanches matin au seul accueil de se clients. Un moment de rencontre privilégié, pour le négoce mais aussi pour le plaisir de discuter et d'échanger, loin du tourbillon de la semaine. |
| PORTRAIT: DNH, lettres d'ébéniste - article paru dans "UNE VILLE HUIT VILLAGES" avril 2006 | |
Atelier DNH Antiquités 70 av. Georges-Pompidou 01 47 32 96 13 |
| C'EST MOI QUI L'AI FAIT - Jean-baptiste GAGEZ, apprenti de l'atelier en 1ère année (2006-07) | ||
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